experience
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Le Ptitavion, l'ulm facile à piloterLors de notre premier tour de France ULM en 2007, nous n'avions que 10 heures de vol avec notre Ptitavion et pourtant nous nous sentions en confiance.Nous nous sommes posés sur un altiport, nous avons traversé des conditions difficiles,... en toute sécurité et avec un pilotage agréable.Pour notre 4ème tour de France ULM en 2012, nous avons été accueillis à notre retour par la presse locale et avons eu droit à un bel article.Le Ptitavion m'a toujours procuré beaucoup de plaisir.Récit de Bernard Colleit , ancien copropriétaire du Ptitavion n°9Contacter Bernard par Mail : cliquez iciou par téléphone en composant le 0 615 245 742
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Retour d'expérience de Philippe
Voici le récit de Philippe , Ptitavion n°24 :
Bonjour à tous
Aujourd’hui, j’avais l’intention d’aller à Courseulles sur Mer, (en Pti’Tavion bien sur).
Les prévisions météo de la matinée étant: pluies éparses, nous ne décollons qu’à midi. (J’emmène un passager)
La visi horizontale est très bonne. Toutefois, 40 à 50 km après Val de Reuil, le plafond s’abaisse (800-900 pieds), et des îlots de petite pluie fine se font de plus en plus nombreux.
Comme personne ne nous attend à Courseulles, je décide de faire demi tour, pas la peine d’aller vers le mauvais temps alors que 90 % du pays est sous le soleil.
De retour aux Noyers, nous cassons la croûte, et décidons de re décoller pour aller vers Etretat, si la météo le permet. Une minute après le déco, une légère vibration se déclenche, signe que quelque chose d’anormal s’est passé. Retour direct aux Noyers. On décapote, rien ne semble anormal coté moteur. Tout est en place. Il démarre à la moindre sollicitation.
En fait, le blindage d’une des pales était parti, ce qui entraînait cette légère vibration. Nous avons retiré les 2 autres blindages, et avons repris l’air sans problème, sans vibration. Du coup, l’heure s’avançant, on a changé nos plans, et sommes allés vers Crépy en Valois, et fait un vol magnifique.
Pas de quoi fouetter un chat comme on dit, mais incident qui aurait pu être désagréable si nous avions été éloignés d’un terrain d’atterrissage. J’aurais du faire une prévol plus attentive, car j’avais déjà remarqué qu’un blindage était décollé sur un centimètre…et pourtant, pas facile de décoller les deux autres blindages.
L’expérience s’acquiert chaque jour.
Bons vols à tous, et soyons prudents.
Philippe
N°24